Coupe du cordon (relation avec l'infirmité motrice cérébrale et d'autres troubles)

Nous avons déjà parlé des raisons fournies par les défenseurs de la coupure immédiate du cordon et de ceux qui défendent qu'il bat jusqu'à ce qu'il s'effondre. En enquêtant sur ce sujet, j'ai trouvé des informations supplémentaires dans les articles de Dr. M.G. Morley, qui présente certaines des conséquences qui, à son avis, pourraient avoir une réduction précoce. L’un des plus inquiétants est sa relation possible avec le paralysie cérébrale, que tant de difficultés et de souffrances impliquent les enfants et leurs familles. Un combat qu’ils affrontent avec courage, donnant à ces petits une vie digne et heureuse.

Les études que j'ai lues expliquent les raisons pour lesquelles un empiétement précoce peut être l'une des causes de cette affection. Nous savons que le manque d'oxygène il provoque la mort de neurones et, si sa durée dépasse six minutes, il provoque des lésions cérébrales irréversibles chez l'homme. Le mécanisme par lequel le placenta transmet le sang oxygéné au bébé fournit le soutien nécessaire pour réguler la respiration autonome à son rythme. Si le cordon est serré, le bébé est laissé sans aide vitale pendant le processus de changement. L'approvisionnement en oxygène et le sang pour transporter l'oxygène sont des éléments cruciaux pour le maintien de la vie.

Comme expliqué, lorsque le cordon est serré immédiatement après la naissance ou le premier souffle le bébé manque d'oxygène supplémentaire. Le sang qui aiderait à établir un fonctionnement correct des poumons reste dans le corps de la mère. Si le bébé est en bonne santé et fort, il transfère dans les poumons tout le sang possible pour en établir le fonctionnement. Chez la plupart des enfants en bonne santé, cela n’a pas de conséquences fatales bien qu’ils soient privés jusqu’à 50% de leur volume sanguin éventuel.

C’est dangereux pour tous les enfants, mais pouvez-vous imaginer à quel point cet apport en oxygène a besoin d’un bébé né asphyxié par compression fœtale ou du cordon? Lorsqu'un bébé présentant ces caractéristiques est né, il est déjà hypovolémique et étouffé. Il a donc besoin de l'oxygène du placenta pour se rétablir. Le terme médical désignant les lésions cérébrales dues au manque d'oxygène s'appelle encéphalopathie hypoxique ischémique, ce qui n’est, ni plus ni moins, que le bébé a souffert de lésions cérébrales irréversibles par suffocation. Si le cordon était pincé et que l'enfant avait déjà des problèmes, ses chances de commencer à respirer, à transférer du sang dans les poumons, le laisseraient sans irrigation suffisante dans son cerveau.

Ce problème tente de pallier avec transfusions et intubation, mais il n’est pas possible de récupérer le cerveau s’il est déjà endommagé. Son propre sang, parce que le sang du placenta appartenait au bébé, a été jeté au moment où il en avait le plus besoin. Et les transfusions et l'intubation ne peuvent pas faire revivre des neurones morts.

Il peut également arriver que le bébé souffre d'un prolapsus du cordon lors de l'accouchement ou du retour du cordon, mais la solution consiste à décompresser le cordon immédiatement et à le laisser retrouver son fonctionnement normal.

Les degrés les plus graves de manque d'oxygénation ont conséquences fatales ou causer des problèmes qui sont détectés peu après la naissance. Mais les conséquences de lésions cérébrales mineures dues à l'hypoxie peuvent prendre des années à se manifester. Ils vont le faire comme troubles du comportement et d'apprentissage ou retard mental. On sait que les cas d’anémie infantile peuvent guérir, mais les dommages au cerveau causés par l’absence de transfert placentaire durent éternellement.

L'effet relationnel n'est pas totalement accepté, mais selon ces études, cette pratique, qui s'est généralisée ces dernières années, pourrait être liée à l'augmentation du nombre de cas de trouble déficitaire de l'attention, du trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention, de l'autisme et du syndrome d'Asperger. Cela devrait faire l'objet d'une enquête approfondie et d'une prise en compte afin d'éviter ce risque inutile pour nos enfants jusqu'à ce que leur sécurité soit démontrée.