Journal de ma grossesse: dernières semaines de canicule

Comme je vous l'ai dit dans l'article précédent, mes nuits d'été sont plutôt cool.

J'ai même quitté le lit conjugal certaines nuits pour y laisser mon mari et ma fille de deux ans (qui passe inévitablement toutes les nuits dans notre lit) pour s'endormir sur le canapé, le tout pour moi et sous les airs de l'éventail.

Les autres femmes enceintes me comprendront parfaitement et conviendront avec moi que passer cette vague de chaleur avec tripon à la mi-août, plus qu’un acte d’amour est une odyssée et une preuve de courage.

Nous sommes fatigués deux fois ou trois fois plus, et encore plus s'il y a un autre enfant à soigner, nous transpirons comme des chèvres, nos jambes gonflées semblent peser une tonne chacune, nos pieds ressemblent à deux ballons de football, nos chevilles disparaissent et vous marchez comme un fou. canard Les exagérations mises à part, ce sont plus ou moins les symptômes d’une femme enceinte à la mi-août. Surtout pour ceux qui passent le seuil de la semaine 34 et entrent dans le dernier tronçon, à la fois de la grossesse et de nos limitations physiques.

Je suis sûr qu'après la vague de chaleur, beaucoup de mères comme moi qui envisagent d'avoir un autre bébé à un moment donné (assez loin de moi) essaieront de mieux calculer la date d'échéance pour que les dernières semaines ne les touchent pas l'été. .

Bien que ce soit "fais ce que je dis mais pas ce que je fais". Ma première fille est née en août, il y a deux ans, alors qu'il ne faisait pas très froid, et je me trouve maintenant dans la même situation, morte de chaleur et sur le point d'accoucher.

En conclusion, on se plaint toujours et à la fin, quand on voit le visage du bébé, on oublie l'énorme chaleur qui régnait cet été-là, jambes enflées, pieds en boule, douleurs d'accouchement ...

Tout ce qui est mauvais (plutôt moins bon) est oublié. Ou n'est ce pas?